Lorsque l'ordonnance de garde à vue contre le suspect pour crime de harcèlement criminel peut être annulée.
Le Freedom Tribunal a rejeté la demande de réexamen du suspect pour crime de actes de persécution.
Le suspect a interjeté appel devant la Cour suprême, alléguant que le Revoir il n'avait pas pris en considération les motifs nouveaux et les déclarations de la personne lésée produites par la défense (à la suite d'enquêtes défensives) de signe contraire par rapport à ce qui avait été rapporté par la victime de harcèlement devant la police judiciaire.
le Tribunal de la liberté il s'était plutôt borné à apprécier ce que l'offensé avait dit devant la police, des déclarations de laquelle ressortait l'existence des faits imputés au suspect, qui avait menacé la personne blessée d'un mal injuste allant même jusqu'à tenter de s'introduire par effraction dans son domicile.
Les enquêtes défensives.
En revanche, une autre vérité est ressortie des déclarations ultérieures de la personne blessée faites à l'accusé du suspect lors des enquêtes défensives.
Tout d'abord, le conduite répétée que la loi exige pour la configuration du crime de traque, au lieu de cela, le comportement s'est produit en l'espace de 12 heures seulement.
Un tel comportement n'aurait pas non plus amené la victime à traquer un état d'anxiété persistant et sévère, ils n'auraient pas non plus impliqué un changement dans les habitudes de vie de la personne blessée.
Fondamentalement, les éléments constitutifs du crime visé aude l'art. 612 bis du Code pénal et par conséquent les besoins de précaution du suspect.
La cassation en effet, ayant omis d'examiner les nouvelles déclarations de la personne lésée, encourant ainsi un évident manque de motivation (car les nouveaux motifs de défense étaient liés à ces nouvelles déclarations) annule l'ordonnance attaquée.
La Cour suprême précise que le Freedom Tribunal devra apprécier la fiabilité des originaux déclarations de la victime de harcèlement, démenti par les enquêtes défensives menées par la défense.
Comment bien mener des enquêtes défensives.
Dans une autre affaire, la Cour a considéré que les enquêtes défensives jointes à la demande de révision étaient nulles car le défenseur précédent ne pouvait enquêter que sur les mêmes sujets d'enquête mais, en posant les mêmes questions qui avaient déjà été posées par la Police Judiciaire, il ne pouvait revenir aux réponses données pour obtenir des informations différentes car cela aurait intégré une violation de l'art. 391 bis cpp paragraphe 4.
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